On parle beaucoup d'Org-mode et de sa capacité, du point de vue de la configuration lettrée, d'exporter des programmes informatiques sous formes de documents PDF à la typographie soignée. Org-mode est effectivement la syntaxe de markup local et polymorphe la plus connue, au sens où comme Markdown, elle peut exporter des documents dans une grande variété de formats, mais où contrairement à elle elle n'est pas littéralement conçue pour empêcher ses utilisataires de configurer la sortie, soit dans le cadre d'un site web collaboratif conçu pour des utilisataires en lesquelles on ne ferait par défaut pas confiance, ce qui a quelques cas d'usage légitimes comme Diaspora*, soit on s'en servirait comme de la syntaxe de markup de facto pour des générateurs de sites web statiques configurés en Toml ou en Yaml. La vocation de la syntaxe #OrgMode à collaborer avec d'autres fichiers locaux, comme avec une base de données #BibLaTeX, apporte des fonctionnalités non-implémentées pour le web : au doigt mouillé, on pourrait combiner un système d'#OpenID à une API #Zotero (qui resterait à ma connaissance à développer) pour permettre à tout·e utilisataire d'embarquer sa biblio à ellui sur l'ensemble du web, sans configuration supplémentaire ; mais le vécu des utilisataires d'Org-mode est un sentiment de libération logicielle, de vitalité ; Org-mode m'a largement préservée d'une forme aigüe de dépression l'année dernière.
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