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#logicielslibres

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Le « journal de vol » d’un projet de contributions au libre au Burkina Faso : Librefaso.

Je ne crois pas que ce projet bénéficierait de l’intérêt qu’il mérite de la part de la communauté libriste européenne, ce qui doit être extrêmement frustrant en raison notamment des taux de change gigantesques pour un projet somme toute planétaire, et donc de potentialités immenses, que tentent tant bien que mal de faire éclore les personnes à l’origine de ce projet.

Je rappelle que l’extrême-droite états-unienne, elle, s’intéresse à l’Afrique, et a notamment rendu les pratiques homosexuelles passibles de peine de mort au Nigéria. Si nous voulons mettre en place l’infrastructure nécessaire pour corriger ce qui me semble être la faille la plus grave aujourd’hui de la Constitution française, qui est le minage du droit de grève en tant que pouvoir constitutionnel de veto populaire par les médias bourgeois, en ataquant sans relâche le développement syndical français par l’antagonisation et l’individualisation de nos concitoyen·nes, nous devrions prendre en charge, sérieusement, activement, dans nos conférences, dans notre militantisme, dans nos hackerspaces, dans nos projets AFK, dans nos syndicats, le racisme.

gemini://unbon.cafe/librefaso/index.gmi

en.wikipedia.orgLGBTQ rights in Nigeria - Wikipedia

💡 Professionnels, la rentrée arrive bientôt et il est temps de (re)prendre de bonnes habitudes : quand on vous parle ou que vous parlez de "#logicielslibres" (ou de logiciels "#opensource", bien que cette appellation apporte un cortège supplémentaire de confusions et d'abus de langage), il ne faut pas dire "logiciels gratuits".

🔗 Étant donné que le sujet n'était pas simple à ce point à expliquer, j'avais besoin de plus de 500 caractères ; voir la suite sur LinkedIn : linkedin.com/posts/jerome-herb

www.linkedin.com💡 Professionnels, la rentrée arrive bientôt et il est temps de (re)prendre de bonnes habitudes : quand on vous parle ou que vous parlez de "logiciels libres" (ou de logiciels "open source", bien que… | Jérôme Herbinet💡 Professionnels, la rentrée arrive bientôt et il est temps de (re)prendre de bonnes habitudes : quand on vous parle ou que vous parlez de "logiciels libres" (ou de logiciels "open source", bien que cette appellation apporte un cortège supplémentaire de confusions et d'abus de langage), il ne faut pas dire "logiciels gratuits". 📣 Pourquoi ? Car, aussi bizarre que cela puisse paraître, un logiciel libre n'est, par définition, pas gratuit ; tout du moins, dans sa définition, on ne fait jamais état d'une obligation de gratuité. On n'y parle que des libertés. ✒️ Vous êtes (encore trop) nombreux à penser qu'un logiciel libre est "gratuit", car, dans l'imaginaire collectif, l'appellation "logiciel libre" trouve son origine dans l'anglicisme "free software", dont beaucoup de gens à travers le monde (y compris les anglophones), pensent que "free" signifie"gratuit", alors qu'il s'agit, dans ce contexte, de "libre". 💰 Comprenez alors qu'un "logiciel libre" peut tout à fait être payant, même si cela est très compliqué à appliquer. Si un logiciel libre est payant, cela est sans lien avec la licence qui garantit les 4 libertés fondamentales bien connues, dont celle qui permet un usage sans restriction. Cela veut dire que la personne a payé pour accéder au fichier d'installation, mais qu'en suite, elle peut en faire ce qu'elle veut (utilisation sans restriction, comme dit juste avant, mais ensuite, par exemple, redistribution sans restriction non plus). Autrement dit, la personne a payé pour soutenir le projet (elle a "joué le jeu"), mais pas pour une licence "privatrice". ⚠️ Je précise que cela concerne tous les "logiciels libres" (4 libertés), mais pas (pas vraiment) les logiciels "open core", qui sont un mix entre : - une base logicielle limitée sous licence libre - des fonctionnalités complémentaires (briques sous licence propriétaire), et des débridages, tous 2 payants 💼 Cela amène forcément une question : comment font des entreprises pour vivre des logiciels libres ? En ne se rémunérant pas sur le paiement de licences logicielles, elles vivent de tous les services qu'elles peuvent fournir autour du logiciel en question : audit, intégration et déploiement, personnalisation, développement, accompagnement (formation, support...), exploitation, contribution au projet... 🤔 Pour en revenir au sujet de départ, peut-on dire qu'un logiciel libre est "gratuit", surtout quand aucun argent n'est demandé pour accéder à son fichier d'installation ? C'est tentant, mais ce n’est pas exact. À la place, on pourrait dire que le logiciel libre est "mis à disposition sans demande de participation financière au projet"... c'est très long, mais ça explique le fond des choses. Cette formule permet de prendre la mesure de la valeur du projet en considérant le travail abattu par les développeurs, parfois très nombreux à travers le monde, pour un seul projet, à commencer par le noyau "Linux". "Gratuit" est donc ici inexact, et de surcroît, un gros mot !

[#jdll2025] Logiciels Libres, souveraineté et liberté – repenser l’indépendance numérique de nos villes

@nicolasvivant, directeur de la stratégie et de la culture numériques à la Mairie d’Échirolles et fervent défenseur du Logiciel Libre, répondra à toutes nos questions.

A travers l’exemple de la ville d’Échirolles, nous abordons les sujets liés à la souveraineté et la liberté que permet le passage d’une collectivité aux logiciels libres, ainsi que la communauté @fnl

👉 projets-libres.org/s3e18-logic

Cross-over avec le podcast @rdgp et @benjaminbellamy

bon, le seul truc qui me freine pour une migration vers #Linux, c'est mon logiciel de #généalogie (utilisé au moins depuis 2012... plus maintenu depuis la mort de son développeur, mais toujours vaillant, quoi qu'avec un fichier de près de 20 000 individus ça rame par moment)... allez je prends mon courage à 2 mains pour tout basculer sur #Gramps, corriger tout ce qui passe pas (arg, les lieux..) puis zou, migration #Linux

Linux franchit les 6 % de parts de marché sur desktop : vers une adoption de masse ?
blog-nouvelles-technologies.fr

"C’est une statistique qui aurait semblé impensable il y a encore quelques années. Selon une étude menée par Lansweeper, société spécialisée dans la gestion d’actifs informatiques, Linux dépasse désormais les 6 % de parts de marché sur les ordinateurs de bureau dans le monde"

L'installation forcée de #Windows11 est en train de booster le passage à #Linux comme jamais !

Et ça ne fait que commencer!

Linux franchit les 6 % de parts de marché sur desktop : vers une adoption de masse ?
BlogNT : le Blog des Nouvelles Technologies · Linux franchit les 6 % de parts de marché sur desktop : vers une adoption de masse ?Selon Lansweeper, Linux dépasse les 6 % de parts de marché sur desktop. Un tournant dans un marché dominé par Windows et macOS ? Analyse des raisons et perspectives.

Et si nous reprenions la main sur nos outils et services #numériques ? Pour contrôler nos données et nos systèmes ?

C'est possible de s'émanciper des #gafam

Nous avons des acteurs locaux pour cela, ainsi que #linux et les #logicielslibres

Mobilisons-nous pour assurer notre #indépendance #technologique et favoriser notre #économie et nos #emplois

De nombreuses ressources en accès libre sont disponibles sur Numericatous pour vous y aider :

numericatous.fr

NumericatousNumericatous, pour un numérique plus libre et plus éthiquePour un numérique plus éthique, plus humain et plus respectueux, optez pour Linux et les logiciels libres. Formez-vous aux logiciels libres.